« Ainsi s'écrivent les premières pages de l'été.. Il est 18h, je rentre de la plage, je sens le sable sous mes pieds, le sel sur ma peau, dans l'air flottent encore des arômes de crème solaire. Mes cheveux sont remontés en chignon, la fameuse coiffure de plage. Mon maillot est encore imprégné d'eau de mer et un frisson parcours mon corps resté au soleil toute la journée. Je remonte la ruelle pour rentrer à la maison, des effluves de savon, de pin, le parfum de ceux qui sont déjà prêts, j'observe les verres sur les terrasses, l'odeur provenant des cuisines, le bruit des couverts qui sont dressés sur les tables. Un sentiment de joie, de plénitude, comme un vent de liberté. »